La cosmographie simplifiée du système solaire consiste en la description des éléments principaux qui le composent. Dans le cadre de l’astrologie, cela se limite au Soleil, à la Lune et aux planètes. L’astrométrie, quant à elle, est une partie de l’astronomie qui se concentre sur la mesure de la position des astres et la détermination de leurs mouvements.
Dans cette section dédiée au système solaire, vous trouverez une présentation détaillée des caractéristiques physiques du Soleil, de la Lune et des planètes. Il est important de noter que dans le domaine de l’astrologie, le terme « Planètes » regroupe à la fois le Soleil, la Lune et les planètes orbitant autour du Soleil. Cette utilisation du terme avec une majuscule ne signifie pas que les astrologues ignorent que le Soleil et la Lune ne sont pas des planètes, mais plutôt qu’ils sont respectivement une étoile et un satellite de la Terre.
Pour avoir une vue d’ensemble simplifiée de notre système solaire, le schéma ci-contre représente le Soleil (au centre) ainsi que les orbites des planètes lentes (à partir de Jupiter). Les orbites de Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton (en rouge) y sont représentées, tout comme celles des petits corps célestes découverts aux confins du système solaire à l’intérieur de la ceinture de Kuiper.
Il est important de noter que Pluton a été officiellement reclassifié en tant que « planète naine ». Cependant, pour les astrologues qui ne suivent pas les décisions de l’Union Astronomique Internationale, Pluton est toujours considérée comme une planète à part entière. Les influences hypothétiques des planètes naines ne sont pas prises en compte pour diverses raisons, telles que le fait que ces petits astres ne sont pas des plutinos et n’ont donc pas la même résonance que Pluton avec Neptune, ou encore le fait qu’ils possèdent des caractéristiques physiques différentes des planètes « classiques » comme Éris.
Les planètes prises en compte par l’astrologie sont représentées sur le schéma ci-contre. Il est important de souligner que cette représentation symbolique ne respecte pas les distances orbitales réelles par rapport au Soleil, les orbites elliptiques réelles ni les couleurs réelles des planètes. La seule concession réaliste est que l’orbite de Pluton coupe celle de Neptune, comme dans le système solaire réel.